A MISLEADING APPEARANCE – 1962

Christophe, chanceux propriétaire de ce bijoux explique qu’il n’était pas spécialement un grand fan de coccinelle ou même de Volkswagen en particulier. Au départ, il cherchait juste un ancêtre sympa à restaurer, de préférence un modèle qui lui permettrait de se procurer de nombreuses pièces d’origine et de reproduction. Un jour, un collègue a débarqués sur son lieu de travail …